Renault has made headlines in Paris and beyond with a “spy story” whose cast includes executives, investigators and politicians. The star is Renault, one of Europe’s most loved brands. The plot appears to touch on intellectual property and zero-emission cars.
The story invites sensationalism by its very nature, like a Hollywood thriller.
But this week the truth was stretched too far. While the vast majority of media coverage has been credible and fair, a few articles have been laced with too-good-to-be-true quotes from anonymous “leaks” and arm-chair quarterbacking by so-called experts who get their facts wrong. These same sources imply that the case has distracted executives or forced employees to take sides.
This is nonsense. It's not true, no matter how desperately pundits try to turn this into a novel by John Le Carré.
Just this month Renault announced a worldwide sales surge of more than 15 percent year over year. Last month Renault launched its comprehensive mid term strategic plan, which simultaneously positions Renault to profit from the world's fastest growing emerging economies while securing France's role in the electric vehicle revolution. Relentless progress isn't nearly as juicy as fiction, of course, but it bears witness to the focus and hard work of thousands of employees in France and around the world. Workers from Brazil to India build thousands of cars a day and develop next-generation battery technology, collaborations and prototypes to drive sustainability into the 22nd century.
Like all highly competitive companies, Renault launched an inquiry when it had reason to believe that confidential assets might have been compromised. Relying on the data available at the time, executives acted decisively to minimize any risk to intellectual property – standard operating procedure among those responsible for safeguarding shareholder value. Renault has worked very closely with government officials and looks forward to providing a full accounting as soon as legally possible.
Most important, Renault has ascertained that its technology did not get into the wrong hands, thus enabling the company to continue to push forward its visionary mission of sustainable and affordable transportation for mainstream consumers. No amount of drama can mask this essential truth.
French Version:
Renault a fait les gros titres à Paris et ailleurs au sujet de l’ « affaire d’espionnage » dont les acteurs sont des cadres, des enquêteurs et des services de renseignements.
L’histoire invite au sensationnalisme par sa nature même, à l’instar d’un thriller hollywoodien.
Mais cette semaine, le stade de l’exagération a été atteint. Alors qu’une majeure partie de la couverture médiatique était crédible et juste, des citations, trop belles pour être vraies, de sources anonymes sont venues enjoliver certains articles, ainsi que des analyses de comptoir de prétendus experts qui n’entendent rien aux faits réels. Ces mêmes sources laissent entendre que l’affaire a distrait les cadres dirigeants ou forcé les employés à prendre parti.
C’est absurde. C’est faux, même si certains tentent désespérément de transformer cette affaire en roman de John Le Carré.
Ce mois-ci, Renault a annoncé une hausse de ses ventes mondiales de plus de 15 % sur douze mois. Le mois dernier, Renault a lancé son plan stratégique à moyen terme, qui permet à Renault de bénéficier simultanément des économies émergentes à très forte croissance et d’affirmer le rôle de la France dans la révolution des véhicules électriques. Le progrès incessant n’est pas aussi croustillant que la fiction, c’est certain, mais il témoigne de la concentration et du travail acharné de milliers d’employés en France et dans le monde. Les ouvriers, du Brésil à l’Inde, construisent des milliers de voitures chaque jour et développent une technologie de batterie de nouvelle génération, des collaborations et des prototypes.
Comme toutes les entreprises évoluant dans un environnement très concurrentiel, Renault a diligenté une investigation interne lorsqu’il y a eu des raisons de croire que des données confidentielles avaient peut-être été compromises. Selon les données disponibles alors, les dirigeants ont décidé d’agir pour réduire tout risque potentiel encouru par la propriété intellectuelle, une procédure standard destinée à protéger l’entreprise et ses salariés. Renault a travaillé en étroite collaboration avec les représentants du gouvernement et souhaite rendre compte dès que les conclusions de l’enquête seront données par le Procureur de La Republique de Paris.
Plus important encore, Renault avec Nissan continuent à accomplir leur mission visionnaire pour une mobilité durable et abordable pour l’ensemble des consommateurs. Aucune histoire à sensations ne peut masquer cette vérité essentielle.